Comme beaucoup, je m’inquiète des dérives de l’intelligence artificielle sur nos libertés, sur la place de l’être humain en général. En même temps, l’outil est extraordinaire. Et si nous le mettions au service de la transition écologique ?

Imaginons que nous puissions cartographier les espèces vivantes, prédire le temps qu’il fera, les pollutions et les crues, faciliter la reforestation par l’utilisation des drones… ?

J’ai voulu, pour une fois sur ce sujet, sans occulter les risques réels, montrer quelques avancées possibles. J’ai choisi d’écrire sur les fosses abyssales de l’océan et la recherche en biologie sous-marine.

Pour ceux qui s’intéressent au sujet, je vous invite à lire, notamment, le rapport « Donner un sens à l’intelligence artificielle » (parution 2018) du mathématicien Cédric Villani, lauréat de la médaille Fields en 2010. Pour lui, l’intelligence artificielle pourrait devenir un puissant accélérateur de la transition écologique et énergétique.

Découvrez les résultats du concours sur le site d’ADELI

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Fidèle lectrice, fidèle lecteur, je vous offre ma nouvelle. Avec toute mon amitié,
Jean K. Saintfort

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