Découvrez des histoires qui font du bien…


Découvrez Des histoires qui font du bien… 

Et si vous offriez quelques instants de recul et de bonheur à ceux pour qui la vie n’est pas facile ? Ou peut-être pour vous…

Car la vie ne nous fait pas toujours de cadeau… Parfois dès la naissance, mais aussi en cours de route : accidents, maladies, violences, agressions, burnouts…

Pourtant, malgré cela, certains se lèvent, sourient, s’étonnent, tendent une main et partent explorer le monde.

Ce sont ces petites histoires qui « font du bien » que je vais vous raconter, sans crainte d’aborder les sujets le plus délicats.


Amie lectrice, ami lecteur… Dans ce recueil, vous allez découvrir des histoires de femmes, d’hommes et d’enfants qui n’ont pas choisi les circonstances de leur vie et ont souvent vécu des drames. Mais toutes ces personnes ont décidé de prendre le bonheur là où il se trouvait et de s’inscrire dans une vision positive de leur vie.
J’ai écrit ces nouvelles, ces poésies, ces slams et récits… car je crois que, lorsque nous sommes frappés, même démunis et impuissants, il demeure toujours une flamme prête à être ranimée. Je reste toujours étonné de voir comment un déclic peut tout revivifier : une parole au bon moment, une écoute bienveillante, parfois un simple pas de côté…
Et si c’était à votre tour de voir la vie autrement ?

— Il y aurait pu y avoir tant de bonheur, dit Mathilde. Le cyprès représente les jeunes gens amoureux ; ses branches, les enfants qu’ils auront ensemble. Les cyprès peuvent vivre des centaines d’années. À chaque génération, les femmes venaient confier ici leurs joies, leurs peines, leurs souhaits, leurs désirs de maternité. Avec ma sœur, comme nos mères et nos grands-mères avant nous, nous glissions des petits papiers ou des morceaux de tissu avec nos vœux sous les écorces du grand arbre qui a brûlé. Ensuite nous nous prenions par la main et nous dansions autour. Parfois, je me demande si le grand arbre ne s’est pas finalement laissé brûler exprès pour faire disparaître tous ces secrets…

Extrait de « La colline des femmes », page 41.

Emma, la voyageuse à l’éternel sac-à-dos. Elle qui a arpenté tant de territoires hostiles, qui a grimpé les plus hauts sommets de la planète. Elle dont les conseils en matière d’escalade faisaient la une des magazines spécialisés…

Elle qui est clouée dans un fauteuil.

Extrait de « Les lettres perdues », page 45.

Mon intérieur était tout ravagé, comme après un incendie.

Sous mon écorce j’avais brûlé, mes forces et mon énergie.

Embrasé par les flammes, j’étais sans oriflamme.

Extrait de « Out le burnout », page 81.

C’était une jeune fille, encore une enfant.

Vous savez, de cet âge où on marche en sautant.

Elle aimait la danse, les contes et récits.

C’était, je m’en souviens, toujours plus près d’ici.

Extrait de « Son amie s’appelle Marie », page 85.

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